La place des femmes dans la société ou dans l’Église a fait l’objet d’ardents débats, n’aboutissant qu’à de nouveaux tabous : « Tout est résolu. Contraception et travail, la femme a maintenant le choix. Sacerdoce, elle ne l’a pas. », nous dit-on.
Le féminin est-il une fatalité ou une possibilité de guérison pour notre humanité blessée ? L’harmonie de la relation entre l’homme et la femme a été rompue, d’après la Genèse, d’abord au détriment de la femme. Les conséquences sont toujours d’actualité.
À la lumière de la foi, nous pouvons paradoxalement aujourd’hui percevoir, à partir des blessures infligées par la culture de mort, tout ce que Dieu nous révèle de son Amour. Ce livre nous invite à renouveler notre regard sur le corps féminin dans son cycle, à accueillir la signification spirituelle qui est inscrite en lui, et tout ce que cela implique : relations homme-femme, maternité, éducation, travail… jusqu’à l’intime de notre relation à Dieu, à l’école de Marie.
Une occasion de rendre grâce en 2018, conjointement, pour deux grands textes : Mulieris Dignitatem de Jean-Paul II (1988) et Humanae Vitae de Paul VI (1968).
Gabrielle Vialla, mariée et mère de sept enfants, est passionnée par la théologie « domestique », en référence à l’église domestique. Elle s’appuie sur son expertise en physiologie féminine, sur de nombreuses rencontres avec des couples et des prêtres. Elle vous entraîne dans une méditation dense et spirituelle, à travers l’Écriture et l’expérience humaine.
Préface d’un monastère bénédictin.
Merci beaucoup pour cette belle intuition.
Que ce lieu puisse voir naître de belles collaborations entre moniteurs de différentes méthodes s’appuyant sur Humanae Vitae.
Michèle, monitrice Cyclamen pour le CLER Amour et Famille